D’un côté, il y a ceux qui sont en place et qui rêvent de sécuriser leur job, leur paye, leurs avantages acquis coûte que coûte quitte à descendre dans la rue ou à jouer du vote sanction. Le candidat le mieux disant se verra gagner de l’électorat à coups de mesures tellement grosses que même si elles sont inapplicables, on ne les rangera pas dans la catégorie des mensonges.
Et puis, de l’autre côté, il y a ceux qui galèrent à fond, qui peinent à manger ou à se loger. Au nom de la flexibilité, ils servent de variables d’ajustement à une économie qui prône le paraître à fond la caisse.