Des fois, je me plais à rêver d’un autre monde, d’une autre façon de travailler, d’une autre manière d’aborder la vie de tous les jours et puis, inlassablement, un espèce de quotidien me rappelle à l’ordre.
J’essaie de me renouveler, de faire place au nouveau, d’accueillir l’inconnu, d’apprendre de nouvelles choses utiles, inutiles, fantasques mais la réalité binaire d’un monde plutôt lourd me rattrape.