Quand nous voulons aller vers le Ciel, vers le Divin, vers le truc qui nous chatouille au plus profond de nous-même, nous utilisons la terminaison “ité” pour lui donner cette connotation particulière. Par exemple, le mot spirituel (spiri-duel pour ceux qui ont abusé de l’égo), se transforme en spiritual-ité qui souvent s’achève en spiritus-alité (soit l’équivalent d’une cirrhose du foie pour le mentalo…).
Il y a aussi d’autres mots comme l’humilité, la ité qui rend humide suite à des grosses larmes de joie ou de paix intérieure. Il y a aussi l’avidité, soit la ité du vide sous l’angle “à vide” et qui donc pédale dans la choucroute comme un malade tant il pense qu’il lui manque quelque chose…