C’est vrai qu’il y a de quoi se faire du mouron quand on constate avec quelle énergie l’homme continue son bonhomme de chemin vers son propre anéantissement. C’est frappant de voir avec quelle régularité il s’entête malgré tous les clignotants qui se mettent au rouge.
Il est comme inconscient, voire carrément impuissant, à vouloir stopper la maladie qui le ronge. Il sait mais ne veut pas agir sauf là où c’est facile, là où le saupoudrage suffit à cacher la misère du mur qui ne tient debout que par les bourrasques de vents contraires.