Là encore, dans la douce folie d’une marche vers un autre part dans une autre dimension, je constate une dérive quelque peu limitante d’un truc que l’on nomme “l’ici et maintenant”. Pour beaucoup, l’ici et maintenant n’est pas l’ailleurs et plus tard…
C’est du moins ce qu’ils pensent, parce qu’ils voient que la majorité voit toujours l’herbe plus verte ailleurs que chez eux, et forcément plus tard puisqu’ils ne peuvent l’imaginer au présent. C’est vrai, c’est déjà un progrès mais il reste encore des marches à franchir…