L’école de la dualité est l’école incontournable pour toute entité désirant retourner vers La Source. Elle correspond globalement à la maternelle, c’est-à-dire à la prise de conscience d’une âme individuelle incarnée dans un véhicule physique. Au début, ça relève de la garderie puis, une fois chez les grands, on se croit le maître du monde en essayant de devenir le chef du bac à sable carrément.
La grande classe, c’est la 3D et là, tous les coups sont permis afin d’exprimer clairement au monde que nous avons un égo bien palpable, mais aussi et surtout une personnalité affirmée basée sur l’expérience acquise au cours des bastonnades à coups de pelles et de râteaux en plastique autour des châteaux de sable construits grâce à l’humidité de nos larmes et émotions.
C’est sûr qu’au moindre rayon de soleil, les constructions seigneuriales et féodales vont souffrir, autant que l’illusion affichée par des mental-égo en mal de guerres saintes. En effet, dans le bac à sable on y joue “pour de vrai”, alors qu’en vérité, tout y est faux par nature. Certes, les matériaux sont vrais, mais tout le reste n’est qu’imagination permettant de passer d’illusions en illusions.
Le jeu semble peu sympa tant on entend les complaintes et les rebuffades des mauvais perdants. La bonne nouvelle dans tout cela, c’est que l’on a des vies multiples et qu’après un “game over”, on renait dans un nouveau personnage afin de continuer l’histoire. Ainsi, d’incarnation en incarnation, l’histoire “imaginée” se poursuit jusqu’au jour où l’année scolaire touche à sa fin…
Certains sont contents, car ils savent qu’ils iront en vacances dans un monde meilleur, plus évanescent, plus léger, car plus ou moins dégagé de la sauvagerie des plus forts (la 4D), tandis que d’autres déploreront qu’ils n’auront plus leurs copains pour jouer en 3D… Certains s’imagineront même déjà au CP (la 5D) en espérant que les vacances seront courtes afin justement de retrouver les copains qui auront eux aussi réussi le passage…
Hé oui, nous sommes bien arrivés au dernier jour d’école de l’école des grands, et pourtant il semblerait qu’une grande majorité ne veut pas en prendre conscience. Ils voient bien qu’il se passe quelque chose, mais ils préfèrent continuer à faire comme avant, comme si ça pouvait changer quelque chose. A la rigueur, quelques-uns essaieront de peser de toute la force de leur personnalité illusoire pour intimider les profs-nounous, car vraiment ils y croient dur comme fer parce qu’ils s’y croient vraiment, mais le messie promis (le chef des nounous) ne viendra pas…
Pour un certain nombre d’entre nous, nous nous sommes progressivement rapprochés du bord du bac à sable, du bord du 1er voile de l’oubli, car nous avons entendu que certains déjà avaient pu faire le mur… La rumeur se fait de plus en plus forte, et nombreux commencent à se poser la question si c’est du lard ou du cochon. Pour cela, ils regardent le ciel et attendent des signes, mais ils ne savent pas que des ET pas sympas ont justement mis une bâche (le second voile de l’oubli) pour nous protéger de la pluie d’amour qui nous vient du centre de la galaxie.
Les gamins entendent bien des choses, comme un bruit sourd, et se sont dit qu’il devait y avoir un Dieu (un “grand”) qui devait taper sur la bâche afin qu’ils aient peur, et surtout qu’ils la mettent en sourdine quand ils font trop de raffut… A l’image d’un papa pouvant être un gentil (quand il fait beau) et un brin colérique, quand on l’a énervé (l’orage gronde) ou pas suivi ses conseils (on s’en ramasse une de temps en temps)…
Bref, le préhumain de 3D, c’est le gosse par excellence qui crie sa divinité, le droit à son auto-détermination, sa rage à la liberté tout en se disant que tout lui est dû. Papa Soleil et maman Urantia se doivent donc d’encaisser tous ses caprices infiniment et sans broncher. Il se croit le centre du monde et affirme même qu’il est le seul dans l’univers à être aussi évolué, aussi intelligent, puisque personne d’autre n’a réussi à atteindre une telle complexité.
Cela ne l’empêche nullement de flinguer et de massacrer à tout va tout individu ne répondant pas à ses visions… Ainsi de guerre en guerre, de boucherie en boucherie, il se dit humain et se complait dans cette auto contemplation nombriliste, tout en affirmant que son monde illusoire EST la réalité. Dit autrement, il a élevé son bac à sable bâché au niveau du seul endroit où la vie puisse exister, et cependant cela ne l’empêche nullement de le saccager du mieux qu’il peut et d’une manière systématique.
Certains “clans” affirment que la Création est basée sur le chiffre 7, car 5+2 ça fait bien 7 (l’homme dans la dualité). D’autres opposants (la machette mentalo-égotique à la main) affirment que c’est le 4+3 (les 4 éléments dans la trinité) qui prime, alors que d‘autres insinuent que ce serait l’UN devant fusionner le trigramme de la matière avec le trigramme du ciel (1+3+3). Il y en a même qui disent qu’il y a 3 moteurs qu’il faut unifier (2+2+2+1)… Alors d’après vous, qui a raison, qui a tort ?
Hé oui, la vue étroite du “clan” est la conséquence même de la dualité. Chaque enseignement défend son nonosse au nom de la vérité, car chaque clan pense que sa version est supérieure à celle des autres et que, rien que pour cela, la boucherie est nécessaire… Les religions disent « aimez-vous les uns les autres » en affirmant que nous sommes tous les enfants de “Dieu”, mais qu’il faut quand même faire le tri… Alors on bénit les bombes, on absout ce qui arrange la bonne cause, et on légitime la corruption comme un mal nécessaire à l’avancement de l’idéal prôné…
Séparations, séparations, séparations, car tout n’est que séparation lorsque le mental-égo tient les rênes du pouvoir. Voici la raison pour laquelle le bac à sable de 3D est l’aire d’entrainement préférée de la dualité. Il a pour objectif de faire comprendre au gamin que son égo le mènera obligatoirement à la séparation et qu’il lui faudra donc faire la démarche inverse, c’est-à-dire celle d’unifier les différentes voies en ouvrant son cœur et donc, en acceptant ce qui EST grâce à la maitrise d’un état d’être particulier : celui de l’être unifié.
Ainsi, devenir un être unifié, c’est d’abord et avant tout comprendre que tout est vérité et qu’un cristal ne peut avoir qu’une seule face. Nous savons tous que la Création est construction. Cela implique donc qu’il y a une géométrie et que cette dernière est multiple. C’est donc en regardant chaque facette sans parti pris que nous découvrons alors que toutes les formules arrivant au chiffre 7 sont correctes.
Chaque description n’est fonction que de la position de l’observateur. Il suffit donc d’être un voyageur pour découvrir que chacun possède effectivement une partie de la vérité vraie et non la totalité. C’est l’égo (le mental-égo) qui affirme qu’il détient LA vérité, mais le cœur (par ses qualités aimantes) est beaucoup plus cool, car il joue le rôle de l’aimant qui rassemble et unifie.
Ainsi, en se rapprochant du bord du bac à sable, on a une meilleure vue sur ce qui se passe dedans, car en voulant faire le mur on est obligé de prendre de la hauteur. C’est alors que l’on se rend compte combien sont inutiles les guéguerres, autant personnelles que celles de clan. On découvre alors combien on a été “con”, et c’est cette prise de conscience qui nous permet d’embrasser la loi de l’UN.
Sans cette expérience de la dualité, sans cette expérience de la noirceur, il est impossible de prendre conscience de notre blancheur originelle. C’est alors que l’on rend grâce de toute notre âme, car on découvre que tout était parfait. L’imperfection que nous nourrissions dans notre cœur n’était que la vision limitée de notre compréhension mentale basée sur l’environnement immédiat.
Nous avons donc, au fil de nos incarnations successives, visité toutes les écoles afin d’expérimenter chaque facette, une à une, l’une après l’autre. Aucune n’a été inutile et aucune n’a été “plus” qu’une autre. Aucune n’a été meilleure ou pire, car, en fait cela n’était que l’interprétation mentale du moment.
Ainsi à chaque incarnation, nous avons été recouverts d’un voile d’oubli afin que nous puissions vivre chaque enseignement, chaque philosophie, chaque religion avec le plus d’intégrité et de rectitude possible. Pour cela, nous avons emprunté tous les véhicules possibles (toutes les races) afin de vivre chaque culture, chaque formatage et tous les rôles-clés allant de l’oppresseur à l’oppressé (du bourreau à la victime).
Cette prise de conscience faite que tout n’est qu’un jeu, on réalise alors que tout n’est qu’action-réaction, que tout n’est qu’inspir et expir et que le plateau de droite de la balance ne vaut pas plus que le plateau de gauche. Comprenez qu’à chaque fois que vous sautez à pieds joint dans l’un des plateaux, vous ne faites que renforcer l’énergie inverse car tout est équilibre dans l’univers.
Hurlez pour la paix et la guerre sera renforcée. Hurlez pour l’unification et la séparation sera plus grande. Hurlez pour l’Ascension et vous serez d’autant crucifié ! Hurlez que vous avez raison et personne ne vous écoutera… En clair, plus vous manifesterez par le verbe, et donc le mental, et plus vous attiserez le feu de l’esprit mais aussi le feu de l’émotion et donc, au final, la séparation.
Quand on allume le feu, je n’ai jamais vu la casserole refroidir… Arrêtez donc de vouloir changer le monde par des actions mentales extérieures, que ce soit en signant des pétitions, en allant vociférer sur la place publique ou toute autre action.
Préférez fermer la gueule à votre mental-égo afin de pouvoir entendre le bordel qui vous habite.
Préférez écouter vos séparations et dissensions internes et y remédier en agissant intérieurement.
Préférez l’action quotidienne à celle du “j’en fais un coup” et puis je retourne à mes petites affaires.
Préférez avancer intérieurement sans en dire un mot à votre entourage sous peine de déclencher des forces contraires.
Préférez l’humilité agissante que la grande gueule qui se vante d’être sur le chemin spirituel.
Préférez la simplicité du cœur plutôt que les chemins intellectuels dans votre progression.
Préférez vivre votre icité plutôt que de projeter vos futurs progrès.
Préférez exprimer votre propre vérité par votre vibration plutôt que par votre bouche.
Préférez accueillir ce qui EST en paix plutôt que juger si c’est bon ou mauvais.
Préférez ce qui résonne en vous plutôt que ce qui raisonne.
Mais oui Laurent, tu nous dis tout ça mais toi, tu écris sur le web, tu causes en conférence, tu distribues les baffes et tu joues au prof !!! Oui, c’est vrai, vu du plancher des vaches, mais à bien y regarder, vous découvrirez que je suis assis tout en haut du mur et qu’avec mon humble mégaphone, j’indique tranquillement par où on peut se tirer du merdier mentalo-égotique.
Mon mégaphone est limité en puissance et n’émet qu’en Français. Donc, tant pis pour les autres et qui me sent bien me suive dans mon délire, car je n’oblige aucunement quelqu’un à me suivre. Je n’ai rien à vendre et mes blogs sont en total libre disposition et distribution. Alors pourquoi je ne me tire pas de l’autre côté ? C’est parce que, justement, de l’autre côté ils me disent que je suis plus utile à jouer au lampadaire ici, parce que sous la bâche il fait encore sombre…
Forcément il y aura toujours des chasseurs en mal de faire des cartons, car ils se sentent investis d’un pouvoir de nettoyage au nom de la régulation. Alors ils tirent sur les quelques faisans d’élevage que l’on aura lâché la veille de l’ouverture de la chasse. Pour preuve, voyez combien les ricains ont lâché de faisans intégristes pour détourner l’attention qu’actuellement la bâche de l’oubli est en train de se faire soulever par nos frères ET (les bienveillants cette fois-ci !).
C’est clair que ceux et celles qui sont sur les bords du bac à sable profitent d’un ensoleillement plus lumineux et bronzant que ceux qui sont au centre du bac, en train de regarder par terre à la recherche d’un gibier imaginaire. Mais, dans un délai très très proche, la bâche du voile de l’oubli va se faire emporter par un coup de vent galactique qui fera découvrir la vraie lumière du Ciel.
C’est sûr que le port des lunettes du non-jugement va être fortement conseillé, tant ce qui nous entourera se révèlera à la conscience de tous. Dit autrement, les chasseurs aveuglés risquent de tirer dans le tas, pensant que l’on est en train de se faire envahir par les forces du mal, soit nos frères ET et leurs collabos installés sur les murs…
D’où mon conseil basique déjà donné il y a quelques années : n’allez pas vous mêler à la foule en colère, parce que l’on n’aura pas à faire avec une armée envahisseuse mais plutôt à une guerre civile où chaque mental-égo flinguera à vue tout ce qui n’est pas en accord avec sa vision des choses. Il faudra donc attendre que les cartouchières se vident pour enfin mettre le nez dehors…
Normalement, cela ne devrait pas prendre beaucoup de temps, car justement les propriétaires de la bâche ont été mis en quarantaine, faisant ainsi qu’il n’y a plus d’approvisionnement en cartouches. Grâce à l’action conjointe des illuminés grimpés sur les murs et de la Confédération Galactique, la bâche n’est plus arrimée au bac à sable et le coup de vent galactique prévu en cette fin d’année (traversée de la ceinture de photon et en plein alignement avec grand père Alcyone qui veut nous dire bonjour) sera costaud.
De plus, papa Soleil va intensifier encore plus ses petits coups de vent afin que la prise au vent soit maximale au moment venu. Maman Urantia l’aidera aussi en faisant tomber quelques pans de mur ici et là…
Bref, à Pâques 2013, au plus tard, la bâche sera définitivement balayée (donc plus aucune ombre), et il sera alors possible de voir l’état d’avancement du grouillement des chenilles, de combien sont dans leur chrysalide et de combien ont déployé ou sont en cours de déploiement de leurs ailes de papillon.
C’est vrai que j’ai oublié de vous dire que pour monter le mur, la chenille 3D au centre doit arrêter de gigoter (on ralentit le mental-égo au max) afin de se rapprocher progressivement du mur (là où ça grouille moins – la 3D+ – on s’occupe de son sort et non plus de celui des autres) afin de tisser le cocon de l’êtreté (et donc se retirer de l’agitation extérieure – 4D).
Puis après un certain temps, on pointe le nez dehors et on n’a qu’une envie… se tirer du merdier, et pour cela, on déplie avec vigueur et constance les ailes de la liberté intérieure (4D+). C’est alors qu’aller se poser sur le bord du bac à sable devient de l’enfantillage, puisque naturellement nous aurons retrouvé la sérénité de l’ange qui, par son regard unifié, irradie la beauté qui était cachée en lui.
On peut donc comprendre que la chenille au centre va prendre plutôt mal le fait que vous soyez un papillon et pas lui. Il tirera donc à vue, jusqu’au moment où le rayonnement de la vraie lumière l’oblige à se recroqueviller et à construire son cocon. Il sera d’autant plus volontaire à le faire s’il voit aussi de ses propres yeux que c’est possible de le faire.
Être un papillon, oui… Être un papillon con, non… Par cela je veux dire que, quel que soit notre stade d’évolution personnel, ce n’est pas le mental-égo qui détermine si l’on est prêt à être un lampadaire. Ce n’est que lorsque vos ailes seront suffisamment fortifiées et opérationnelles que vous pourrez vous montrer aux yeux de tous.
A chaque stade du développement de la chenille en papillon, nous sommes un exemple pour tous, c’est certain, mais cela ne veut pas dire que vous êtes prêts à affronter le tir des chasseurs fous. Ne croyez pas que le fait d’être sur le chemin est suffisant pour vous protéger. Seuls ceux qui ont véritablement quitté le système de la 3D peuvent être libres de leurs mouvements, car tant que vous aurez des liens d’attachement, aussi bien matériels qu’affectifs (argent, désir, amour), cela agira comme des ancres vous empêchant de décoller.
Le passage en cocon (la 3D+) est l’intériorisation. C’est le début de la fabrication du cocon. Le passage en 4D, c’est le cocon qui s’ouvre et où la larve essaie de déplier ses ailes. C’est le moment le plus critique, car vous n’êtes plus chenille mais vous n’êtes pas encore un papillon. C’est donc la période où il ne faut pas aller faire le branquignole dans les cafés-bars de 3D en vous vantant que vous êtes sur le chemin.
Puis, après quelques essais de déploiement des ailes, il arrivera un moment où vous pourrez vraiment voler en toute liberté là où vous voulez. C’est la 4D+. C’est alors que vous pourrez vraiment être l’exemple parfait, car vous aurez démontré non seulement votre foi en l’inconnu (votre détermination à suivre votre petite voix) mais vous exprimerez votre unicité (vos formes et couleurs) sans aucune honte ou culpabilité.
J’espère que vous avez compris qu’être sur la voie demande de savoir quand on peut l’ouvrir et quand il faut savoir la fermer. Rayonnez par votre vibration et non par votre personnalité.
Préférez le silence au bruit.
Préférez l’isolement plutôt que la débauche extérieure.
Préférez suivre votre petite voix plutôt que des processus mentaux.
Préférez l’abandon à ce qui EST plutôt que le contrôle à ce que vous voulez.
Préférez suivre le processus naturel intérieur et cela vous évitera l’impatience.
Préférez la fluidité à la résistance.
Préférez voir la perfection que l’imperfection née de votre ignorance.
Préférez voir l’accomplissement d’un plan supérieur que l’accomplissement de vos désirs égotiques.
Préférez vos nouvelles intérieures plutôt que les nouvelles extérieures.
Préférez l’abandon à l’attachement
Préférez le non-jugement à l’expression de ce que vous pensez.
Préférez l’êtreté plutôt que le paraitre pour combler le regard des autres.
Préférez la radiation naturelle de votre présence à celle de vouloir donner de l’amour inconditionnel.
Préférez rester dans votre paix intérieure plutôt que d’avoir raison.
Préférez être seul que vouloir courir après une hypothétique relation amoureuse mentalisée.
Préférez vivre votre êtreté en votre corps de matière plutôt qu’à le fuir par le rêve de l’évanescence.
Préférez accepter pleinement ce que vous êtes ici et maintenant que ce que vous aimeriez être.
Préférez la voie de l’UN plutôt que la voie issue de votre personnalité.
Préférez l’abandon à l’icité plutôt qu’à un quelconque projet.
C’est dans l’abandon
que la chenille deviendra papillon.
C’est dans le cocon
que se fait la transformation.
Laurent DUREAU
Article paru à l’origine sur le blog 5D6D le 15 octobre 2012 et réactualisé sur le blog 345D le 1er décembre 2012.
(2 commentaires)
agnes
2 décembre 2012 à 12 h 34 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
Merci Laurent de ta bienveillance ❓
Agnès
SUZY.
2 décembre 2012 à 21 h 32 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
Préférez l’abandon à l’icité plutôt qu’à un quelconque projet…
Seul se meut en étant heureux, le sage qui n’attend rien de l’avenir, dont les mouvements sont libres, qui est au-dessus des paires des contraires, dont les doutes ont été dissipés et qui n’éprouve d’attachement pour aucune condition qu’elle quelle soit.