On a souvent tendance à penser que le fait de quitter la 3D nous fera parvenir à un monde meilleur en arrivant dans la 4D. Or, comme vous et moi savons que la 3D-4D appartient au même véhicule Spatio-Temporel qui est l’école de la dualité. La 3D correspond à la matière (l’espace – le masculin) tandis que la 4D, la partie féminine, correspond au Temps ou à l’information.
En effet, l’amour n’est qu’échange d’information avec tout le respect que cela comporte. Le contraire de l’amour est l’indifférence, c’est-à-dire la coupure de la transmission d’information. Dans notre jargon de 3D scientifique, on voit ça comme le temps parce que la vibration féminine est à une fréquence double de celle du masculin qui, par conséquent, nous apparait plus volatile…
Parler d’Espace-Temps c’est parler science, mais pour les marcheurs on devrait plutôt parler d’Espace d’expérimentation dans la matière et de Temps d’amour, de Temps de connexion à La Source, de Temps d’échange d’information. Voilà pourquoi je me sens souvent un peu coincé dans des termes comme Espace-Temps (le masculin-féminin), car il existe aussi son pendant qu’est le Temps-Espace (le féminin-masculin).
L’un (l’Espace-Temps) est la vision de celui qui est en 3D, tandis que l’autre, le Temps-Espace, est celui qui est en 4D. Dans le 1er cas, on voit l’espace en tout avec une notion de temps linéaire extérieur, tandis que dans le second on regarde le temps sous un autre angle, celui de l’intérieur, celui de l’êtritude, auquel vient s’adjoindre une matérialité d’échange d’amour, de respect et de vibrations du “cœur”.
Vous qui êtes sur le chemin avec souvent un pied dans la 3D et l’autre dans la 4D, vous savez combien il est difficile d’avoir le cul entre 2 chaises. D’un côté on vous montre la vraie vie selon ce que l’on vit depuis toujours, et de l’autre vous découvrez que la vraie vie n’est pas celle de l’extérieur mais celle de l’intérieur. C’est une étape très déstabilisante pour le mental, car d’une position dominante, il se fait gentiment remettre à sa place petit à petit par le sentiment d’êtreté qui vous vient du cœur.
Nous savons que les deux doivent être en équilibre mais, pour cela, il va nous falloir développer en totalité le Temps-Espace autant que nous avons développé notre Espace-Temps. Il y aura donc un moment où, dans la poursuite de votre chemin, vous aurez carrément les 2 pieds dans le même sabot, celui de la 4D. C’est alors que le monde de 3D vous semblera si lointain que vous vous demanderez encore ce que vous faites là avec ce corps densifié dans ce bac à sable de la dualité.
Ainsi tout logiquement, attiré par des vibrations plus fluides car 2 fois plus rapide, vous vous êtes surpris à monter dans le vortex évolutif vertical (l’ascension) situé dans l’axe de notre 1er chakra et du 7ème. Passant du 3ème au 4ème, puis ensuite quand l’équilibre sera acquis, nous pourrons passer dans l’école suivante qui est celle de la 5D-6D.
L’école de la 3D4D est celle de la maitrise de la dualité, alors vous pouvez vous douter que si en 3D l’aspect matériel, l’aspect visible, l’aspect extérieur, l’aspect de la densité, prend le dessus sur l’aspect immatériel, invisible, intérieur et léger qu’est la 4D, cette dernière n’est pas exempte de pièges relatifs à la dualité. Hé oui les pièges de 4D vous attendent les bras ouverts, alors commençons par en voir quelques-uns…
1 – La lassitude
Tous ceux qui sont depuis assez longtemps dans la 4D ont expérimenté combien on devient fatigué et las de tout ce bordel qui nous entoure. On a envie de tout laisser tomber et surtout de s’enfuir d’une certaine manière de ce corps pesant qui, bien des fois, est loin d’être un véhicule en parfaite santé.
On sent que chaque petit bobo (ou malaise plus grave) est un héritage de la 3D qui commence à nous foutre les boules. On pourrait presque dire que nous avons le sentiment d’être martyrisé par tout ce passé, par toute cette matière contaminée, par cet environnement négatif et malsain allant des chemtrails aux vaccinations, sans compter toutes les ondes électromagnétiques et tous les connards qui les emploient pour nous exploiter et dans certains cas nous éliminer pour faire au passage plus de beurre.
Oui, on est las de tout ce bordel, de toute cette merde du bac à sable et on ne souhaite qu’une chose : rejoindre le paradis de la félicité où glander dans des jardins paradisiaques nous ferait oublier définitivement ce monde merdique. Alors, on vient à s’imaginer dans un corps de rêve, habillé de vêtements aussi légers que transparents, tout en pouvant causer quand bon nous semble avec tous les anges, archanges et autres formes de vie passant par là.
Alors, toute image pastellisée, évanescente, montrant des contacts avec des entités ultra-rayonnantes nous fait du bien, surtout si au passage on a allumé deux bougies et de l’encens. On se voudrait déjà là-bas, là-haut, autre part, et donc loin de tout ce bourbier égotiste qui nous entoure. C’est sûr que, dans un 1er temps, ça aide à s’extirper de la densité de la 3D mais une fois que vous serez complètement en 4D, ces mêmes images vont mettront le cafard tôt ou tard car elles vous sembleront si lointaines, si inaccessibles.
Il s’en suivra une petite dépression lancinante qui n’aura pas joué de la trompette à son arrivée. Non, elle s’est immiscée tranquillement sans que l’on vienne y faire attention. En effet, plus nous nous rapprochons de notre cœur et plus notre contact avec La Source se fait consistant, amplifiant ainsi notre envie de retourner à la maison.
La nostalgie du monde d’avant l’incarnation remonte à la surface comme toute bulle gazeuse d’un marécage en putréfaction. On en a marre d’être les pieds dans la merde, d’avoir encore à gérer toutes les bestioles qui nous les bouffent. Chaque bulle, chaque “cloc” est une envie de plus de n’être plus là, d’être ailleurs, paumé entre 2 dimensions… Le monde des petits bonheurs de ce monde nous quitte de plus en plus.
On baigne donc dans une sorte de dépression, une sorte de pression négative qui fait qu’on est las de tout et que vouloir se battre semble presque inutile puisque, mentalement, vous savez que la compétition appartient à la 3D. C’est alors que survient un autre sentiment…
2 – L’impatience
En effet, le temps qui passe extérieurement vous semble terriblement long comparé à tous vos moments de rêveries intérieures. Vos balades multidimensionnelles (conscientes ou non) font que le temps linéaire, bien que passant vite dans les faits, semble s’étendre à l’infini quand vous apprenez que l’humanité ascensionnera dans 30, 40 ou 50 ans.
Ça vous semble énorme, inhumain et surtout incompréhensible. Vous vous prenez alors à rêver que fin 2012 sera la fin de ce merdier, la fin de ce mauvais rêve et qu’après, tout sera fini. Vous vous prenez à penser qu’il suffira de tenir encore quelques mois pour enfin vous sortir des multiples tracas de la vie existentielle.
Et puis, plus ce regard se fera grand et plus vous sentirez de l’énervement intérieurement. La maladie de l’impatience vous aura contaminé après celle de la lassitude. Hé oui, être dans La Vibration féminine n’est pas la même chose qu’être dans la Vibration masculine. Dans ce dernier cas, le mouvement des étoiles menait le bal et vous faisiez avec, même si déjà l’impatience était là.
Mais en 4D, la fréquence de cette vibration est doublée et, en plus, elle joue dans des dimensions inconnues de la 3D. Vous commencez à faire des rêves conscients, à percevoir des trucs qui se cachent derrière le voile de l’oubli, et pourtant tout semble se trainer autour de vous. Votre corps de matière n’arrête pas de calancher pour un oui ou pour un non.
Un jour, il a ceci, un autre jour cela, et vous n’arrivez pas à comprendre qu’en ingurgitant plus de lumière vous devenez en fait plus mal en point que lorsque vous étiez en 3D. Il vous devient inacceptable d’avoir une carcasse qui vous lâche, alors qu’avant vous étiez toujours en bonne santé… L’impatience fait donc son effet : elle vous met sur les nerfs et chaque seconde, chaque jour qui passe, est presque une offense à votre vibration.
Certes, je pousse un peu le bouchon, mais qui d’entre nous n’a pas eu ces symptômes d’impatience entrainant des baisses vibratoires tant on ne peut pas comprendre la raison majeure de l’UN à nous laisser dans ce bourbier dimensionnel.
On savait qu’en 3D l’impatience de voir les résultats se concrétiser nous faisait quelquefois douter de nos compétences. Mais là, en 4D, nous savons bien que notre pouvoir de cocréation est plus grand et que les résultats devraient normalement venir plus vite. C’est le cas pour des tas de truc du quotidien, mais concernant le moment si attendu de la résurrection, ce moment final de la renaissance, on a le sang qui chauffe un peu.
Alors, c’est quand les 3 jours d’obscurité ? Alors, c’est quand que la Terre va inverser ses pôles ? Alors, c’est quand que les ET vont apparaitre pour mettre tout le monde au jus ? Alors, c’est quand que les banksters vont claquer comme les mouches lors d’un violent coup de froid ? Alors, c’est quand que le monde de la finance va tomber comme un château de carte ? Alors, c’est quand que les illuminatis vont rendre les armes ?
Alors, c’est quand que…? Oui, l’impatience du changement, l’impatience de voir les choses se réaliser nous étreint d’une manière ou d’une autre à des degrés plus ou moins variables, mais tous, les avons eu ou allons les avoir. C’est inévitable, car la nature même de la fluidité est la vitesse. Celle de glisser entre les résistances, alors nous expérimentons les joies de la vitesse du temps qui, depuis, nous est devenu très relative.
Le temps semble se jouer de nous en nous faisant vivre en quelques secondes des heures de temps linéaire, et à l’inverse en faisant trainer le temps extérieur pour nous faire péter les plombs. Hé oui, la 4D appartient au tandem de la dualité et il nous faut aussi apprendre que l’impatience est une leçon de la dualité.
Une fois cette leçon du temps apprise, nous pourrons alors aller en 5D où la notion du temps présent aura quasiment remplacé toute notion linéaire du temps. On se foutra alors de dire qu’il nous faudra 50.000 ans pour passer en 6D et quelques millions d’années pour passer en 7D, car on saura que tout cela n’est qu’illusion mentale car lorsque l’on vit vraiment dans l’éternel présent, on démontre que l’on est au delà des illusions temporelles de la dualité.
3 – La compassion sans sagesse
En effet, plus nous avancerons dans la 4D et plus nous nous sentirons UN avec les autres “Soi”, et plus nous serons amenés à fraterniser et donc à nous investir dans la notion de “service à autrui”. C’est grandiose, aussi grandiose que d’avoir découvert l’espoir du Nouveau Monde qui apporte la lassitude, et aussi grandiose que de vivre l’élasticité du temps qui apporte l’impatience. Mais quel est le revers de la médaille concernant la compassion ?
C’est tout simplement la sagesse… Hé oui sans sagesse, la compassion vous mènera dans des situations impossibles tel un mouton allant à l’abattoir. La compassion en elle-même est l’équivalent de l’esclavagisme de 3D transposé en 4D. C’est l’émanation du “service à autrui” qui vous poussera à donner de votre temps, de votre argent, et surtout de vous faire perdre la raison concernant l’aide que vous pouvez apporter à ce monde.
La compassion roule donc en dualité avec la sagesse. Sans sagesse, la compassion vous mènera au bord du gouffre où, tôt ou tard, vous crierez au Ciel “Pourquoi…?????”. Nous savons tous que l’enfer n’est pavé que de bonnes intentions. En voulant faire “le bien”, nous faisons que précipiter “le mal”…
La compassion appartient aussi à la dualité et elle en a donc toutes les propriétés. Veuillez donc à surveiller doucettement les raisons cachées de votre compassion qui vous vient du cœur, car souvent, au passage, vous y verrez que votre mental-égo n’est pas étranger à l’affaire.
En effet, juste pour vous donner un exemple concret, je fus en jour en proie à un questionnement concernant ma mère. Je devais avoir dans les 7-8 ans à l’époque et je ressentais vivement qu’à chaque fois que ma mère offrait des légumes du jardin aux inconnus de passage à la maison, elle avait un cœur sur la main gros comme ça. A chaque fois, j’étais envahi par un sentiment de gratitude immense.
C’était un sentiment profond qui me faisait tant vibrer que je savais que cela appartenait à un autre monde auquel j’aspirais de tout mon cœur. Cependant, quelquefois, mon père lui refilait une engueulade maison après ça et je ne comprenais pas vraiment la raison de son courroux jusqu’au jour où je découvris que mon père en avait marre de trimer comme un esclave dans le jardin juste pour les beaux yeux des inconnus de passage. Ma mère recevait tous les louanges et mon père aucun…
C’est alors que je compris combien la “personnalité” de ma mère n’hésitait pas à donner pour s’attirer les bonnes grâces des étrangers (et ainsi se fabriquer une image), tandis que mon père n’en profitait pas un iota (parce que ma mère ne lui rendait grâce en rien) et qu’en plus, les légumes donnés n’allaient pas dans l’assiette des affamés que nous étions. Hé oui, des fois on mangeait des patates parce que maman avait tout donné sur un coup de tête…
C’est ainsi que je découvris qu’un acte absolument divin dans son essence pouvait, en fait, être pollué par une nécessité égotique. J’en ai retenu la leçon : il ne faut pas se fier aux apparences. Ni papa ni maman n’avaient tort ou raison, mais les inconnus savaient que s’ils voulaient des légumes, un petit passage pour dire bonjour suffisait. Ils n’avaient même pas à demander quelque chose pour repartir avec un billot de légumes sous le bras…
La compassion sans sagesse est comme la vitesse sans les freins. Tôt ou tard, vous prendrez les décors et vous hurlerez au Ciel pourquoi vous avez été puni alors que vous donniez le meilleur qui puisse être… La 4D est, elle aussi, une dimension de dualité et pour passer en 5D, il faudra bien avoir fait le tour des énergies masculines, mais aussi des énergies féminines.
Autant le féminin est attirant de premier abord, autant il révèlera son autre face plus tard. Idem pour le masculin qui, souvent, montre la mauvaise face d’abord (c’est sûr que sur ce point le fait d’être visible ne joue pas en sa faveur) mais montrera ensuite son bon côté. Alors, ne vous fiez pas uniquement sur le lumineux sinon vous apprendrez rapidement que dans un monde de dualité le non-lumineux a aussi existence.
La sagesse vient d’une racine grecque qui veut dire “être en équilibre”. Il est l’aiguille au centre de la balance où à droite il y a le plateau du masculin et à gauche le plateau du féminin. Ne venez donc pas à croire qu’une polarité est meilleure que l’autre. Non, elles sont égales en tout, aussi bien en “bon” qu’en “moins bon”.
Le discernement est donc de mise et cela, en toutes circonstances. Bien sûr, il ne faut pas confondre avec la suspicion systématique qui est une maladie “mentale” chez ceux et celles qui n’ont pas intégré que le discernement passe d’abord par le cœur et non par un raisonnement.
Laurent DUREAU
Article paru à l’origine sur le blog 5D6D le 27 février 2012 et réactualisé sur le blog 345D le 17 novembre 2012.
(4 commentaires)
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SUZY.
17 novembre 2012 à 21 h 30 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
Dans ce texte si profond : Nous investir dans la notion deservice à autrui….
» Ce qui ne veut pas dire être totalement dans l’indifférence, mais à partir du moment ou on a trouvé l’Unité, et cela sera de plus en plus vrai, on sera obligatoirement dans la notion de service, cela est différent de compatir et de servir dans le sens d’une émotion ou d’une affection ou d’une croyance. Ainsi la totalité des organismes humanitaires ayant été crées par les humains appartiennent aux mêmes forces du Pouvoir qui nous gouvernent sans exception. Travaillons donc avec nous-même. Ce qui doit guider notre adhésion c’est notre capacité à vibrer au niveau du coeur et rien d’autre. Merci Laurent.
J'aqueux Tests-Sert
18 novembre 2012 à 20 h 38 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
Laurent,
Ta mère ne te donnait-elle pas ainsi tes premiers ‘lègue…HUME’ de discernement à la racine ?
Le « feuillage féminin » refusant la merde de la dualité en gardant tout beau pour soi ?
Ta mère se sentait bien dans l’émotionnel seul, alors que ton père travaillait les éléments en suant sur le Terrain.
Quand à moi, le citadin débarqué en banlieue, ma meilleure leçon de vie aura été après la tempête de fin 1999, à faire bûcheron improvisé mouillant ma chemise matin et soir pendant 3 semaines, mes énergies cellulaires devenues naturellement joyeuses comme je ne l’avais jamais été… même en étant bougeant et sportif mais jamais assez décrassé…, là plus qu’à rire tout le temps pour un rien !
CHANT-JONCS & BOUE-JONCS sainement et sans arrêt, Notre divin corps, le climat ré-équilibré avec les continents ré-humidifiés en agroforesterie nous le rendra au centuple, légumes bio en prime ! Merci pour nos réincarnations éventuelles !!!
STéphane Chatelain
10 janvier 2013 à 8 h 12 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
Salut !
Laurent, quand vous dites :
« 1 – La lassitude
Tous ceux qui sont depuis assez longtemps dans la 4D ont expérimenté combien on devient fatigué et las de tout ce bordel qui nous entoure. On a envie de tout laisser tomber et surtout de s’enfuir d’une certaine manière de ce corps pesant qui, bien des fois, est loin d’être un véhicule en parfaite santé. »
c’est exactement ce que je ressent depuis des années ! 😯
Je ressent une grande lassitude physique et morale, perte de cheveux, l’air fatigué, sommeil perturbé depuis des années, ras le bol de tout les connards qui m’entoure, envie d’être seul, une cabane au fond des bois, d’où mon intérêt actuel pour le survivalisme et l’autarcie …etc …
et : « Veuillez donc à surveiller doucettement les raisons cachées de votre compassion qui vous vient du cœur, car souvent, au passage, vous y verrez que votre mental-égo n’est pas étranger à l’affaire. »
tout a fait vrai !
Louise
9 mars 2013 à 13 h 46 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
Cette impatience et cette lassitude et ces douleurs physiques et ce pourquoi la lumière ne me guérit pas etc. c’est EXACTEMENT ce que je ressens depuis des années. Ouf ca fait du bien de le voir écrit et de savoir que je ne suis pas seule sur ma planète.
Et même arrivé au chapitre de la compassion, là au début je me disait que je n’étais pas rendue en 4 D car ça je n’en avais pas tant que ça, mais en voyant le reste du texte, ça aussi est tellement vrai, on ne se bat plus pour une personne qui veut rester dans son trou, pour quelqu’un qui ne veut pas se sortir de sa misère ou qui veut tout simplement continuer son expérience que moi, je considère négative, mais peut-être pas elle. On aide juste quand on a le goût d’aider, on le fait par plaisir et non plus par obligation.
Merci