On en parle. On dit qu’elle est notre futur et qu’il nous faut la développer dans la joie et la bonne humeur, mais qu’est-ce que c’est en vérité ? Est-ce un truc qui vient de l’intérieur de nous ou de l’extérieur de nous ?
Peut-on l’acheter, la vendre, la troquer ou faire semblant de l’avoir ? Eh bien, rien de tout ça, puisque tout simplement c’est vous-même, ou plus précisément votre conscience en action, votre conscience de l’instant présent.
En effet, pour les adeptes encore baignant dans les “religions extérieures”, la Présence serait celle de la Divinité dont ils aimeraient tant être au contact. Mais pour les préposés à l’Ascension, ce serait plutôt les retrouvailles avec leur Divinité intérieure.
Dans les 2 cas, nous parlons de la même chose. Nous parlons de cette chose que nous appelons de tout notre cœur et qui fait que nous sommes dans la joie de l’instant présent, dans la joie d’être ici et maintenant dans ce que nous sommes véritablement !
Comme vous l’aurez compris, la Présence est d’abord une attention, une présence à nous-même, et donc aussi une présence à tout ce qui vit à l’intérieur de nous, et à l’extérieur de nous.
C’est la sensation que quelque chose de plus grand que nous vit à l’intérieur de notre corps, de notre temple d’incarnation. C’est donc une forme de conscience à nous-même, à notre Êtretré véritable.
En clair, la Présence, c’est l’attention que nous portons à nous-même en tant qu’Être incarné ayant pleinement conscience de ses origines Divines, et donc de ses capacités co-créatrices de chaque instant.
Cette prise de conscience à nous-même, c’est prendre conscience que nous passons d’une vision d’un monde limité, fini et fragmenté, à un monde illimité, infini et unifié.
Prenant conscience de cela, il se développe alors un sentiment unitaire, un sentiment que nous faisons partie d’un tout, et qu’en fait nous sommes aussi le Tout. Il en découle un sentiment d’appartenance euphorique, tout en étant très calme et peu démonstratif.
C’est une forme de confiance en l’infini, en l’intelligence universelle, et à la cohorte d’anges et de guides qui nous aident. Bref, on se sent comme connecté à un monde invisible qui pourtant nous parait très réel.
Il en découle un sentiment d’Unité, car nous comprenons, et surtout ressentons, que nous faisons partie d’un Tout si grand, si vaste, que la vie en devient belle et très surprenante.
Nous avons ainsi l’impression de redevenir des enfants ébahis devant tant d’intelligence, devant tant de beauté, devant tant de choses à découvrir. Bref, on redevient des enfants de l’Univers.
Ce faisant, on pressent qu’une forme de conscience nous fait prendre justement conscience que nous avons une vibration propre au sein de cette infinitude. Ceci étant, en fait, la découverte de notre propre Essence…
Plus nous découvrons notre propre essence, et plus notre “Présence” nous devient familière. C’est comme si un grand frère ou une grande sœur, pour ne pas dire une mère, venait à notre rencontre. C’est D.I.V.I.N !
Imaginez alors quand nous devenons conscient de notre propre Essence et que nous mettons tout notre cœur pour être avec elle. Eh bien, c’est là que va se réaliser cette alchimie si particulière dont tous les écrits parlent…
L’Ascension, c’est tout bonnement cela ! C’est vivre ce que nous sommes véritablement, tout en étant incarné dans ce corps si fatigué de nos conneries basées sur des croyances tellement loin de cette vérité.
Communier, être en communion, veut bien dire qu’il nous faut mettre en commun 4 choses si évidentes que cela en ferait tomber sur le cul tous les religieux qui ne se prennent pas pour des moins que rien.
En clair, soyez dans la VÉRITÉ de votre PRÉSENCE avec COEUR et vous sentirez ce que veut dire être en UNITÉ.
Il est donc temps de pénétrer avec courage et détermination ce que vous êtes véritablement. Ajoutez-y la légèreté, afin que la démarche ne devienne pas trop lourde et sérieuse grâce à la joie, et aimez votre corps inconditionnellement !
Demain, la qualité d’un individu ne se fera pas selon ses diplômes ou son niveau de vie matériel, mais selon la qualité vibratoire de son être, de sa Présence à lui-même.
Mouai, c’est vrai que, devant, on ne sait pas trop ce qui s’y trouve, à part nos banales projections mentales de la 3D. A cet effet, je ne vois pas toutes les dames habillées comme des nonnes avec une option tchador…
On les dit toutes “vierges” afin d’accueillir le Christ, tandis qu’à côté d’autres se mettent les bâtons de dynamite en bandoulière pour se faire sauter et avoir la possibilité de se taper une petite centaine de vierges au Ciel…
Un bref recul ferait comprendre à ce beau monde-là que tomber la burka, ainsi que toutes les croyances religieuses associées sur le bien et le mal, ferait que subitement les fabricants de dynamite seraient en faillite, et le monde, accessoirement, en paix !
S’éloigner des messages de notre cœur amène inévitablement à s’éloigner de notre vérité, et donc de notre paix intérieure. Cela repousse encore plus notre aptitude à capter notre Essence, et donc à développer notre Présence…
Bref, vous aurez tout compris quand vous commencerez à vraiment écouter votre cœur, et surtout à vous déshabiller de vos croyances religieuses… La religion a fait ce qu’elle avait à faire, mais maintenant son rôle est fini !
Maintenant, vous devez vous lever comme neuf et vierge de toutes croyances. Facile à dire, mais pas facile à faire me direz-vous. C’est vrai mais pas impossible, mais pour cela il n’y a pas quatre chemins mais un seul… votre coeur.
En l’écoutant avec simplicité, en l’écoutant avec complicité, en l’écoutant à chaque instant, vous vous permettez d’avoir le meilleur guide de tous les temps, le meilleur guide de tous les Univers, votre grand SOI.
En lui faisant confiance, vous vous faites confiance. En doutant de lui, vous vous placez vous-même dans la mouise à venir. Est-ce si compliqué à comprendre ? Il semblerait que oui pour la majorité de l’humanité.
En s’éloignant de l’écoute de notre cœur, nous savons bien qu’il y aura plein d’interrogations, et cela nous amènera forcément à plus de confusion. Puis cette dernière amènera à son tour encore plus d’agitation, et donc, in fine, plus de malaises plus ou moins soutenables…
Pourtant, vous vous dites que vous ouvrez votre cœur, mais si concrètement les emmerdes continuent c’est que cela n’est resté qu’au niveau de votre mental. Il n’y a pas vraiment d’autres explications… à part toutes les excuses que votre mental-ego trouvera.
Certes, il peut y avoir une petite zone tampon, mais cela durera aussi longtemps que votre confiance en votre cœur ne sera pas totale. Vous verrez bien un jour que vous pourrez dire à la montagne de se casser plus loin, et elle le fera aussi promptement que vous aurez développé votre Présence à vous-même.
Au sein de votre cœur se trouve Celui qui est capable de tout faire, mais pour cela il faut commencer à lui faire confiance. En effet, vous devez ressentir qu’il est capable de tout faire, aussi bien de trouver une solution simple que de transcender la pire des situations.
En effet, aucun obstacle ne peut être plus fort que votre Présence. Et tant que vous n’en serez pas convaincu, vous resterez un con vaincu !
En vous alignant sur votre Présence, plus rien ne pourra vous toucher, et encore moins les mots qui tuent, les mots qui blessent, et les mots qui rabaissent votre vibration.
Tant que vous resterez scotché à votre personnalité de préhumain, vous serez de l’argile. On vous malaxera pour faire de vous une tasse, une assiette ou un bol qui sera ensuite cuit dans le four des croyances.
Ensuite on vous utilisera comme un vulgaire objet dans un système pour ensuite finir à la casse dans un cimetière… On y plantera une croix pour être sûr de l’endroit où on vous aura mis… Juste pour vous retrouver au cas où… vous auriez l’idée d’ascensionner avec votre corps physique comme Jésus…
Au sein de la Présence, la maladie et les souffrances n’existent pas, car le déséquilibre n’existe pas. Alors, plus tôt vous serez centré et plus tôt vous enverrez balader tous les thérapeutes (officiels ou non).
Toute thérapie relève de la dualité, or nous savons tous que la 4D5D est au-delà de la confrontation, au delà du choc frontal. L’Ascension fait plutôt dans la fluidité, le contournement, pour poursuivre sa route vers l’océan de la Paix.
Au sein de la Présence, l’émotion ainsi que tout ce qui vous rattache à l’affectif (vous savez ce qui vous affecte) n’a plus vraiment cours… Avez-vous déjà vu des anges s’engueuler ou pousser une gueulante ?
Avez-vous vu un Archange affecté parce qu’une population vient de détruire sa planète ? Rien de tout ça, car la véritable compassion demande d’abord de comprendre que tout est évolutif et qu’aucun chagrin ne rajoutera une coudée à votre vie.
Ne reliez plus la non-émotion avec l’indifférence, car cela appartient au monde la dualité. La véritable compassion vient du cœur de celui qui a compris les règles du jeu et qui est en contact avec sa véritable essence Divine.
L’émotion n’est qu’un sous-produit de l’âme humaine. Nous sommes venu l’expérimenter pour mieux la maîtriser, mais maintenant son heure est venue de partir avec le monde de la 3D.
Que vous soyez d’accord ou non avec ça ne changera en rien sa déconstruction par les nouvelles énergies. L’émotion, telle que nous la connaissons aujourd’hui, sera bientôt un reliquat du passé, car quelque chose de plus grandiose nous attend , mais je reviendrai sur ce point dans un autre article, si nécessaire.
Enfin, derniers mots sur la Présence, c’est qu’elle fonctionne sur un mode tout-à-fait simple : la PURETÉ. Donc adieu casseroles, fantaisies et modes égotiques, car cette pureté s’exprime tout simplement par l’humilité et la simplicité…
Développer votre Présence à vous-même, c’est vraiment être simple, humble et pleinement confiant dans chaque message de notre cœur, et cela à chaque seconde de notre existence.
C’est pas compliqué, sauf pour notre mental-ego qui va se retrouver illico presto au chomdu avec pour indemnité un “on t’appellera dès que l’on aura besoin de toi…” Compte tenu que le temps n’existe pas véritablement, on peut dire qu’il aura quelques éternités pour taper la belote au café des désœuvrés…
Laurent DUREAU
Article paru à l’origine sur le blog 4D5D le 2 juin 2010 et réactualisé sur le blog 345D le 10 octobre 2012.