Après une impulsion forte (la dernière série vidéo), il y a eu comme une hésitation, comme un mou concernant la suite. En effet, l’afflux d’information, et surtout de clés de compréhension, a fait que j’ai vacillé au point d’être obligé de prendre du recul par rapport à tout ça.
Hé oui, il n’est pas toujours évident de rester centré quand autant de révélations vous viennent à chaque ouverture de paupière. D’ailleurs, je ne prenais aucune note sur du papier, car chaque nouvelle révélation venait approfondir, voire carrément changer, la compréhension de ce que j’avais précédemment entrevu.
Ce fut donc un peu olé-olé et je voulais vous en parler, car très probablement vous y passerez aussi. L’Ascension est une chose merveilleuse, bien qu’elle demande de tout lâcher et de se fier uniquement à notre petite voix ou Soi Supérieur. C’est une expérience superbe où de nombreux avantages indéniables se font connaitre.
L’autre face de la médaille, c’est le côté équilibriste pour ne pas sombrer dans l’un des nombreux pièges du mental-égo. En effet, mine de rien, il est là en permanence et ses tentacules si profondément enfouies en nous font qu’avec subtilité il nous emmène sur ses rives dès que possible.
Vous savez, tout comme moi, que l’accès à la connaissance, à la compréhension du monde, à la compréhension de nous-même est très euphorisant au point d’en devenir dépendant. On en veut toujours plus, car on croit que plus on en saura et plus on deviendra fort. C’est quasiment inné, sauf que cela ne vient pas du cœur mais du mental-égo, et c’est là le problème…
Je fus donc embarqué comme une feuille dans la bourrasque de la découverte et j’ai failli, d’une certaine façon, me détacher de la branche de l’arbre qui me relie à la Terre et au monde en général. En effet, cette perte d’ancrage, c’est comme si l’ancre de la montgolfière ne pouvait plus compenser les gaz mis à fond par le mental.
Et c’est justement là le problème, car notre incarnation n’a pas pour objectif de quitter ce monde pour un meilleur dans un éther quelconque, mais de transmuter celui dans lequel nous sommes. Nous ne sommes pas là pour quitter le navire mais pour le transformer.
Il y a donc un monde de différence entre s’échapper de la cale et s’échapper du bateau. Comprenez bien que l’on nous demande de mettre le nez dehors afin de respirer un air frais de liberté et de paix, et d’enfin regarder le Soleil Central briller dans le ciel de notre cœur.
Il nous est donc conseillé de quitter la soute de l’illusion et de la noirceur, où les rats de différentes espèces bouffent les vêtements de lumière que nous portons. On nous demande de prendre de la hauteur afin de voir la beauté de la mer (de la mère, de La Source) sur laquelle nous flottons depuis les commencements.
Mais cela ne veut pas dire sauter par-dessus bord pour aller vers une ile quelconque, et paradisiaque si possible. Non, le but même de notre incarnation est d’être sur le bateau Urantien et de transformer la galère où tous les esclaves rament comme des malades dans les étages inférieurs pour le plaisir de quelques-uns sur le pont.
C’est sûr que cela prendra un peu de temps avant que cette galère antique devienne un paquebot de croisière pour âme en balade de santé. Il nous est donc demandé d’aller jusqu’au pont supérieur, là où notre capitaine, notre Soi supérieur dirige les opérations. Il nous faut lui être obéissant et fier d’être son marin préféré.
En effet, chacun d’entre nous a un rôle précis dans l’agencement des responsabilités de ce vaisseau spatial appelé Urantia Gaia. Tous n’ont pas à être marin en activité, car en fait, il y a environ 1 marin pour 199 passagers. Oui, pour l’Ascension véritable, ceux qui monteront aux cordages pour ouvrir les voiles sur le Nouveau Monde sont un nombre limité.
Voilà pourquoi il est inutile de vouloir convaincre d’autres personnes que nous-même pour l’Ascension sur le pont. Nous avons tous un contrat unique, tout en sachant qu’en tant que planète de libre arbitre, c’est à chacun de décider s’il décide de continuer à ramer ou de lâcher tout pour aller voir ce qui se passe plus haut.
Oui, 1 personne sur 200 doit relever les manches pour que les 199 autres comprennent que ramer pour une minorité n’est pas une vie. Comprenez bien que si tous se levaient comme un seul homme et montaient sur le pont, cela s’appellerait une mutinerie. Cela entrainerait bain de sang, engouement dans les escaliers et bordel complet.
Non, la divine perfection du plan est que, progressivement, dans un ordre précis, les plus déterminés quittent leur poste de rameur pour visiter l’état actuel du bateau. Leur rôle est de prendre la tangente en douce avec l’excuse d’aller aux toilettes pour un lâcher-prise bénéfique.
Devant le peu de personne y allant, les gardiens ne s’alarment pas et ne sortent pas les flingues pour tirer à vue. C’est ainsi que depuis 30 ans, certains ont déjà commencé leur évasion, passant d’un pont inférieur à un pont au-dessus pour finalement arriver à sentir les embruns de la mer, de La Source.
Puis, une minorité commence à pouvoir grimper sur le pont supérieur (là où le commandant en chef se trouve), tandis que d’autres grimpent sur les haubans et les cordages pour entendre la parole du vent. A travers eux, à travers leurs canalisations, nous recevons des infos plus ou moins brouillées par les discours et croyances régnant sur le bateau.
Qu’à cela ne tienne, car si chacun d’entre nous écoute sa petite voix sans se laisser bouffer par son mental à la solde de l’égo, alors l’issue du changement de cap du bateau se fera de toute façon. Tout changement trop brutal, trop bruyant et trop mental, amènera inéluctablement une répression d’une force égale ou supérieure.
En effet, toute révolution, quels que soient ses mobiles, ne fera que perpétuer une autre forme d’esclavage. Rappelez-vous, nous sommes des esclaves rêvant de liberté, mais que ferons-nous quand nous serons libres et qu’il n’y aura plus de rames ? Hé bien, là est tout le problème, car aujourd’hui peu de personnes peuvent l’imaginer.
C’est donc une histoire lente qui se déroule, même si en ce moment la prise de contrôle du bateau semble à notre portée. Les geôliers sentent qu’il se passe quelque chose et ils n’ont plus l’assurance de leur supériorité. Ils sont donc prêts à faire dans la répression lourde, dans la boucherie, même si à la fin le bateau doit couler.
Mais rassurez-vous, le bateau ne coulera pas parce qu’une main extérieure (nos frères de l’espace) a mis comme des bouées extérieures qui maintiendront le bateau à flot quoi qu’il arrive. Fort de cela, nous savons que, tôt ou tard, nous reprendrons les rênes de notre pouvoir intérieur, les rênes de notre destinée véritable, et c’est la raison pour laquelle il faut être extrêmement vigilant sur ce que fait notre mental-égo…
Il est comme un espion placé en nous, et il fera tout pour que notre cœur ne puisse exprimer sa véritable intelligence et sagesse. Notre mental-égo est comme un programme espion, une puce psychique implantée dans notre subconscient, afin de nous faire revenir au point de départ qu’est l’esclave de base, le mouton obéissant, l’Esprit ayant chuté, l’orphelin de l’UN.
Je fus donc aux prises pendant une semaine avec ce mental-égo qui tissait sa toile au fur et à mesure que je recevais des clés de compréhension. C’est ainsi qu’au fur et à mesure de chaque article, je sentais un enfermement, une réduction de l’ouverture, qui me menait indiscutablement vers un matérialisme du savoir, c’est-à-dire à donner des infos qui nourrissent le mental et non plus le cœur.
En effet, et c’est là la force du mental-égo, c’est que plus vous lui donnez d’info et plus son plan de domination se fait fin et précis. Plus les révélations sont grandioses en termes de mise en relation entre les choses, et plus la toile d’araignée s’agrandit au point de masquer la lumière elle-même.
J’ai donc senti en moi cet assombrissement dû à cette myriade de fils nouveaux qui me coupaient de plus en plus du cœur, de l’intelligence du cœur. Je sais, je vous dis ça et probablement cela ne vous dira rien, mais je puis vous assurer qu’il y a vraiment une différence de vibration quand c’est le cœur qui parle ou quand c’est la tête.
En tout cas, moi, je sens cette différence, et vous vous doutez bien qu’elle ne passe pas de 20°C à 80°C en 1 seconde. Non, c’est progressif, et c’est ainsi que la grenouille se retrouve cuite avant de sauter du bocal. C’est donc comme un endormissement progressif qui fait que si vous n’avez pas quelques repères sérieux, vous êtes sûr que la messe est dite.
C’est à l’image du chauffeur de voiture qui sent la fatigue venir. Il se dit qu’il tiendra le coup et puis, il vient à réaliser qu’il vient de rouler plusieurs km en ayant dormi. Il ne sait pas pourquoi il ne s’est pas planté, mais s’il est sage, au prochain parking, il s’arrêtera même si son mental lui crie qu’il est suffisamment fort pour atteindre la destination finale.
Hé bien, c’est comme ça, d’une manière identique, que le mental-égo tisse sa toile pour que vous alliez dans les décors et ne puissiez sortir de la zone sous contrôle. C’est ainsi que des milliers de gens se retrouvent à l’hosto ou à la morgue… Non seulement ils étaient pressés d’arriver à destination, mais en plus ils ne discernaient plus qui leur causait véritablement.
Il en est de même pour tous ceux qui prennent la route de l’Ascension. Beaucoup veulent rouler vite et arriver le plus vite possible à destination, car, en fait, une peur profonde les tenaille : ils ont peur de ne pas ascensionner. Nul besoin de dire que dès qu’il y a une notion de peur, c’est que vous roulez pour quelqu’un d’autre que vous…
Le Soi Supérieur n’est pas pressé par le temps, car pour lui, celui-ci n’existe pas. Ainsi, si vous sentez que le temps vous manque et qu’il faut mettre les bouchées doubles, vous savez qui vous susurre cela : votre mental-égo. Il est derrière tout et vous ne pouvez y échapper.
En effet, tant que vous serez dans un corps de chair, votre égo sera indubitablement là, au même titre que tous les gardes et pères fouettards sur le bateau. A aucun moment, vous ne pourrez être sûr que l’on ne vous démasquera pas. Il faut donc être extrêmement vigilant intérieurement, car comme on dit, le ver est dans la pomme…
C’est ainsi que pendant cette dernière semaine, j’ai été obligé de faire du ménage et de ne rien écrire ou publier. Je ne peux me permettre de glisser sur la planche savonnée du mental-égo qui veut que je tombe en pleine mer, comme tout accusé qui se voit gentiment invité à quitter le bateau avec le pic de l’épée dans le dos.
Bref, j’espère que vous avez compris que mon rôle n’est pas là pour vous donner de l’info et nourrir votre mental, mais plus pour vous donner des clés de compréhension afin de déclencher votre intelligence du cœur. Cette dernière relève plus de la vibration, de la résonance, du ressenti, plutôt que dans le “il faut que je réfléchisse” ou le “je ne comprends pas”.
Dans les faits, je sais qu’il est difficile de savoir à partir de quel moment une information nous fait résonner ou raisonner. La frontière est floue, au même titre que l’espace et le temps. C’est un couple masculin-féminin où l’on ne sait plus si c’est l’homme qui mène par lui-même, ou si c’est lui qui se fait mener par l’aptitude à danser de la demoiselle.
C’est sûr que c’est un mélange des deux. Que c’est un équilibre instable où tout peut chavirer en une fraction de seconde. Il en est de même entre l’intelligence du cœur et l’intelligence du mental-égo. Ce qui fait virevolter le mental-égo, ce sont les vertus du cœur, mais c’est lui qui physiquement permet de danser.
L’objectif est donc de discerner quand l’une des parties prend l’ascendance sur l’autre. S’il y a trop de féminin, le couple se casse la figure, et s’il y a trop de masculin, il n’est plus en phase avec la musique… Il est donc primordial pour chacun de nous de discerner les moments compris entre le déséquilibre physique et la désynchronisation d’avec la musique.
Il n’y a donc pas de règles strictes, car chacun danse avec son Soi Supérieur qui est madame, je le rappelle. Se faire enivrer, voire envouter, par madame c’est super classe, sauf que vous allez vous ramasser les chaises, les tables et le parquet. Dit autrement, vous allez avoir beaucoup de “heurts” avec l’environnement matériel (l’argent, le social, les liens affectifs, etc.) et si vous ne vous fiez qu’à votre mental, vous en serez encore au rock alors que la musique vient de passer au slow langoureux…
Il est donc important de savoir pauser dès que vous sentez une désynchronisation avec madame (l’intérieur) ou avec l’environnement (l’extérieur). J’ai donc eu droit, suite à une poussée rythmique de madame (ma série vidéo), de desserrer l’emprise de monsieur qui la serrait d’autant plus fort pour ne pas aller dans le décor.
Bon, maintenant que madame et monsieur sont revenus au centre de la piste, j’espère que la musique à venir ne fera pas dans une rythmique effrénée, sans pour autant tomber dans le slow à mourir. En fait, je dis ça, mais je n’en sais rien du tout, car tout va dépendre des étincelles de lumière qu’aura madame dans les yeux.
Elle me fera peut-être encore danser comme une toupie à m’en faire griller les charbons, et peut-être faire péter les plombs; mais bon, qui puis-je, puisque c’est elle qui a pris mon cœur. Moi, je ne reste que le danseur, celui qui s’est incarné pour la faire danser dans la cale de l’ignorance.
En fait, elle me mène par le bout du nez depuis si longtemps que je ne saurais imaginer une vie sans elle. Pourtant, en regardant juste autour de moi, je constate tant de danseurs séparés de leur danseuse. Ils la cherchent de tout cœur et ils ne la trouvent point. Ils parlent d’âmes ou de flammes jumelles, et ils la voient comme ceci ou comme cela. Ils la cherchent avec leur tête, leurs croyances, leur culture.
Ils regardent tout autour d’eux comme des rapaces n’ayant pas mangé depuis des éons, alors qu’elle se trouve là, dans leur cœur, dans leur compassion, dans leur amour pour eux-mêmes. Notre danseuse à nous, la vraie, la véritable n’est pas dehors, n’est pas dans l’au-delà, elle est au dedans de nous comme elle l’a toujours été.
Alors fermez les yeux, détendez-vous, mettez la musique de votre mental en mode silence et attendez qu’elle se présente à vous. Elle le fera assurément, car elle en a vraiment marre d’être coincée dans le placard à balai, le placard des emmanchés, le placard des matérialistes, le placard de l’oubli.
Ouvrez la porte des possibles et vous allez voir combien le balai va vous envouter pour aller danser !!! C’est sûr que le parquet va être astiqué, brillant et lumineux, au point qu’à chaque fois où vous vous ramasserez (ooups, une petite glissade…), vous ne pourrez reconnaitre celui qui se réfléchit dedans.
Il sourira de toutes ses dents et les yeux pétillant d’amour, il vous fera comprendre que la Vie est une virevolte entre toi et toi, et que tout le reste n’est que le décor pour s’y croire. Alors tant pis pour les bleus, les hématomes et l’arthrite de l’ignorance, car on sait que c’est en pratiquant que l’on deviendra un as, un danseur hors pair, un danseur unique pour le seul plaisir de celui qui nous habite si profondément, l’UN.
Laurent DUREAU
Article paru à l’origine sur le blog 5D6D le 21 novembre 2011 et réactualisé sur le blog 345D le 5 novembre 2012.
(11 commentaires)
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Cécile
5 novembre 2012 à 6 h 33 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
Laurent, tu dis « il est difficile de savoir à partir de quel moment une information nous fait résonner ou raisonner » … et je ne peux que constater comment c’est facile pour moi. Je racontais ce week-end même à mon ami lampadaire Patrick, que je faisais un peu l’école buissonnière avec tes derniers articles. Parce qu’autant quand c’est la vibration du coeur, j’oublie le temps à te lire, autant quand c’est une série plus technique, comme l’adn ou les chakras, … ben j’avoue, tout mon être trépigne pour se lever de devant l’ordi … c’est le regard qui se sauve par la fenêtre toute proche et se perd dans le vol des mésanges, c’est un manque de concentration qui me fait te relire deux fois pour comprendre, ou au soupir de découragement quand je vois le matin à la fraîche que t’as sorti trois ou quatre nouvel article, avec chacun au moins une demi-heure de vidéo … alors que le soleil me fait de l’oeil pour sortir en profiter au maximum ! je ne sais pas me contrarier, et j’ai « lâché » les cours 😳 . Ce qui est légereté quand c’est saupoudré devient gavage que l’on s’impose soi même pour … pouvoir te suivre !! (euhh, c’est de la peur ça !!) c’est supra intéressant, ça c’est sûr (la connaissance et la compréhension titille l’ego) … mais le Vivre !! alors ça c’est grandiose !! J’aime être sur les bancs de ton école, vraiment, mais la récréation, c’est aussi important que le cours. Et je me marre de penser que personne ne nous punira de deux heures de colles pour avoir écouté notre petite voix 😉 Et y’a pas photo, quand je retrouve THE vibration en te lisant, je suis si joyeuse … que j’en deviens bavarde dans le commentaire !! 😆 Lumineuse journée à tous !
fanfan
5 novembre 2012 à 8 h 00 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
😉 rhôô ça c’est rigolo, je me disais à peu près la même chose, y a des articles ces derniers temps, j’accrochais pas. Mais je me disais « bah c’est normal, je suis une femme! » 💡
Cécile
5 novembre 2012 à 8 h 50 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
tout à fait Fanfan, ça doit être comme un thermomètre intérieur qui nous indique s’il y a assez de vibrations féminine ou pas. Le côté technique du fonctionnement du moteur, ça doit être le garagiste masculin, et nous les filles, on veut juste que ça roule cheveux aux vents et que ça décoiffe 👿 !!
Brigitte
5 novembre 2012 à 9 h 09 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
Coucou les filles 🙂
Et si justement, cela représentait notre challenge (à nous les féminins incarnés) d’équilibrer aussi en ce sens nos énergies masculines en penchant un peu plus du côté mental ?
Tout en sachant, et c’est comme ça que perso je fonctionne, que les articles de Laurent et les vidéos ne causent pas vraiment à mon mental (qui est rapidement perdu) mais plus à mes cellules et que cela réveille toute cette Connaissance qui y est endormie …
Pour moi, il me suffit de m’imprégner des dessins de ces séries vidéos pour tout comprendre intuitivement … et non mentalement …
Ce côté mental permet « simplement » de poser des mots sur tout cela, et donc de pouvoir en parler (chakra 5, de polarité masculine aussi).
Bonne imprégnation (infusion) à toutes …
Bizzz
fanfan
5 novembre 2012 à 9 h 26 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
Oui Brigitte, c’est ce qui se passe la plupart du temps, même s’il y a plein de trucs que je ne comprends pas, je digère les grandes lignes; mais là, ces derniers temps, je me sentais cancre du fond de la classe qui regarde par la fenêtre et se fout en plus complètement d’être cancre 😈
Parfois mon énergie féminine barre complètement le chemin à mon énergie masculine, et je me délecte de cet état, alors pourquoi laisserais-je mon mental me pourrir la vie? 😛
bises à toutes!
françoise68
5 novembre 2012 à 11 h 01 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
c’est amusant il n’y a que des filles qui causent ce matin … et bien sûr … j’en suis une 😀 !
j’ai été passionnée par les derniers articles et vidéos de Laurent , j’ai encore un mental qui aime comprendre mais pas que … -Amusant aussi quand les articles sont longs et un peu ➡ techniques , mon chat vient demander avec beaucoup d’insistance : des câlins, se met sur mes genoux et veut jouer… il me permet une pause pour mieux infuser ! C’est le clin d’oeil solaire de Cécile. Tout comme Brigitte : ce que mon mental à compris et aimerait ta
françoise68
5 novembre 2012 à 11 h 11 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
je reprends , je ne sais pas ce qui c’est passé ! Je disais donc que tout comme Brigitte ce que mon mental a compris et aimerait tant se souvenir est très volatile , ne reste que la vibration avec en très légère superposition des bribes de « connaissances » histoire de lier le tout comme pour unifier mon masculin/féminin (ou inversement : je ne suis pas sexiste) . Voilà où j’en suis à ce jour mais ça bouge les filles , ça bouge !
Nicole.A
5 novembre 2012 à 13 h 50 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
Bonjour Cécile, Fanfan, Brigitte,
Simplement pour dire que je fonctionne aussi comme ça. Je laisse l’info entrer en résonance dans mes cellules. Par le mental c’est trop dure.
De tout cœur avec vous et Laurent, merci.
SUZY
6 novembre 2012 à 10 h 56 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
Je reprends : Nous ne sommes pas là pour quitter le navire mais pour le transformer.. S’appuyer sur l’Unité essentielle de toute la famille humaine et aussi la réalisation de la fraternité sur chacun des plans de l’Etre sont une seule et même chose, en écoutant sa petite voix du coeur sans l’égo.
fanfan
6 novembre 2012 à 10 h 59 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
heu…oui? as tu pensé que nous cherchions à quitter le navire dans nos commentaires? 😯
martine
10 janvier 2013 à 17 h 55 min (UTC 2) Lier vers ce commentaire
’il y a vraiment une différence de vibration quand c’est le cœur qui parle ou quand c’est la tête.
hum suis un peu a la rame pour les coms mais la différence de vibration est très claire pour moi… en fait qd j’écoute la vidéo suffit que je me branche sur la vibration de laurent et bamos! 😛