Nous savons tous que les poules n’ont pas de dents, mais cela ne les empêche pas de taper du pied, de piquer du bec, de fanfaronner, de s’enfiler quelques vers de terre ayant mis le nez dehors pour exprimer leur énervement pour cause voisinage bruyant. Mais au final, ladite poule, ou coq, finira en poulet rôti de toute façon…
Hé oui, vos commentaires dans le dernier article démontrent combien la basse-cour s’anime dès lors que l’on y jette du grain. En effet, vous êtes-vous posé la question du pourquoi le tenancier du site vous a balancé, en toute humilité, du bon maïs bien jaune qu’on en dirait presque du génétiquement modifié dernier cri ?
C’est sûr que ça a caqueté. Rassurez-vous, car ce n’était pas une intention malicieuse de ma part mais juste une épreuve en vraie grandeur, autant pour vous que pour moi. En effet, je vais vous raconter comment les “Anges, EDL ou autres”, nous testent afin de savoir si nous vibrons et vivons ce que nous avons comme règles et principes dans le crâne et le cœur.
En temps de paix, il est facile d’arborer tous ses diplômes de secouriste “spirituel” et de s’y croire. Mais une bonne mise en conditions réelles et on verra tout de suite combien d’entre nous seront capables de réagir correctement sans aller replonger dans les manuels pour cause de doute, sans compter ceux qui seront tombés dans les pommes entretemps ou qui auront fui par une autre méthode.
Je vais donc vous raconter l’envers du décor, car, en tant que prof arrivé en fin de programme scolaire, on m’a fait passer quelques épreuves en temps réel, et puis, pour confirmer les résultats, on a testé l’efficacité de son enseignement en testant aussi directement ses élèves. En clair, vos commentaires ont permis de noter le prof…
En effet, bien que peu d’entre vous réalisent vraiment que cela fait 2 mois que nous sommes entrés dans la 4D définitivement (bien que l’on soit encore en tout début de transition), il y a une évaluation des profs afin de déterminer qui va s’arrêter d’enseigner (les mises à la retraite), et ceux qui vont pouvoir continuer. En d’autres termes, j’ai été mis sur la sellette et je m’en vais vous raconter l’histoire.
Et puis, par la même occasion, vous découvrirez comment fonctionnent les lois de sélection des enseignants pour le Nouveau Monde. Il est donc normal qu’en tant que lampadaire confirmé (un sénior = un ancien qui a de la bouteille), je passe des contrôles afin de déterminer si je suis toujours en phase (l’état d’être) avec le programme du Nouveau Monde.
Il est évident que le test que nous avons tous subi dernièrement a aussi éclairé les instances supérieures sur l’état de maturation des lampadaires “junior”, c’est-à-dire de ceux qui prendront le relais d’une manière ou d’une autre. Un lampadaire reste un lampadaire de toute façon, mais les responsabilités et tâches qui lui seront confiées dépendront directement de l’état d’être qu’il aura manifesté pendant ce fameux test en temps réel.
Bref, vous pouvez deviner qu’il n’y a aucun jugement sur vos commentaires et qu’il n’y aura aucune sanction. Il n’y a que constatation de votre êtreté et de votre capacité à prendre du recul devant un évènement inattendu. C’est vrai que le fait que je vous dirige vers un EDL canalisé n’est absolument pas dans mes habitudes, et vous avez relevé quasiment tous le fait. Cependant, cela n’a pas empêché certains de me crucifier haut et court avec une réelle promptitude.
Vous vous doutez bien que la réaction que vous avez eue vous appartient, et que je n’ai à ce titre aucun jugement à faire. Je ne suis qu’un prof assis derrière son bureau et qui regarde (sans avoir vraiment la capacité d’intervenir) combien ses “élèves”, sur lesquels il n’a aucune autorité, viennent à lui envoyer des fleurs tout autant que des couronnes d’épines…
Il y a 2.000 ans, un homme et nombre de ses disciples eurent droit à ce traitement de faveur. En un temps très court, le temps d’une montée d’adrénaline, la sentence mortelle tombe, faisant oublier les années de services, les miracles et tout le reste. Cependant, sur le bas-côté, en toute modestie et désespoir, nombre de lampadaires pleurent, car ils voient le lynchage se faire et ils ne peuvent inverser la tendance sous peine d’enfreindre la loi de l’UN qui est celle du respect d’autrui.
Ainsi, ce que nous avons vécu le week-end dernier est un remake d’un scénario déjà trop connu, qui avait pour objectif de déterminer la véritable foi de chacun d’entre nous. Nul ne sera jugé, car maintenant que nous sommes en 4D, c’est à chacun de voir en son for intérieur quel est son véritable niveau vibratoire et sa véritable consistance.
L’objectif n’était pas de mettre en avant le prof (qui n’est qu’un intermédiaire), mais de vérifier la véritable mise en pratique des leçons-informations du programme scolaire Divin rattaché à l’Ascension. Ce dernier se résumait à “restez centré afin de garder sa paix intérieure”. Le test a donc révélé à chacun où il en est exactement à ce propos. Certains, par manque de recul, sont de suite tombés dans le piège de la dualité, tandis que d’autres ont su garder leurs distances et rester ouverts.
Certains ont mis en avant un mental analytique, tandis que d’autres préféraient sentir la résonance. Certains ont balayé d’un revers de main pour cause de vocabulaire, pour cause de forme non compatible avec leur vision en communication angélique, tandis que d’autres ont réussi à aller au-delà des mots pour en découvrir la quintessence.
Comme vous le voyez, c’était un test en vrai, un test qui n’annule en rien la validité ou la véracité des canalisations mises à disposition. Comme je l’avais indiqué, j’ai laissé les textes sans aucune annotation, sans aucune couleur, sans aucune mise en évidence, car le document remis se devait d’être neutre tout comme une copie d’examen.
Les 5-6 articles précédents vous avaient préparés, et notamment le dernier qui ne parlait que de cœur-égo. Tout était là, et moi-même je n’étais pas conscient de ce qui se passait réellement. Ce n’est qu’après coup, en refaisant l’historique de ces 15 derniers jours, que j’ai découvert que j’avais été mené par le bout du nez. En effet, en suivant ma petite voix, j’ai été dirigé là où l’on voulait m’emmener, donc tout s’est passé comme prévu par les instances supérieures. C’est magnifiquement parfait !
Puis, n’étant pas à votre place, je vais vous raconter comment je suis passé à la casserole. Ainsi, lorsque cela sera votre tour, vous aurez l’attitude juste en comprenant qu’un examen n’est pas un manque de confiance des instances supérieures envers vous, mais bien au contraire la preuve que vous êtes prêt à passer à l’étape suivante.
Ainsi, comme je l’ai dit à plusieurs reprises, je suis dans ma dernière saison d’écriture, car j’arrive en fin de septennat. L’article “le Pont de l’UN pensable” décrit très précisément qu’une fois le pont fini (ou quasiment), je serai obligatoirement remis sur un autre dossier, une autre tâche à accomplir. Il est donc parfaitement normal que je sois évalué en fin de parcours pour pouvoir être dirigé vers un projet, en parfaite adéquation avec la vibration atteinte.
Bref, cela commença donc par la nécessité d’aller à un stage où une channel canalise un EDL. Quand j’en ai parlé à Brigitte, elle en a pouffé de rire de suite en se demandant si je ne la mettais pas en boite. En effet, pour quelqu’un qui n’arrête pas de dire que vous avez tout en dedans de vous et qu’il vous faut uniquement écouter votre petite voix, cela parait totalement incongru d’aller demander à une channel ce que vous devez faire…
En effet, vouloir se faire confirmer par une source extérieure à vous (et cela, quelle que soit l’entité canalisée) démontre clairement qu’il vous reste du chemin à faire concernant la confiance que vous mettez dans votre petite voix… Ça, c’est le premier point, et le second est que si c’est pour avoir réponse à une problématique que vous n’arrivez pas à dépasser, c’est comme demander à l’inspecteur de vous refiler la solution…
Hé oui, si une problématique se pointe à vous, il faut comprendre que c’est un examen de passage et que c’est à vous, et uniquement à vous, d’y apporter la solution, sinon cela veut dire quoi d’être en apprentissage ? Je ne critique en rien ce genre de stage (ou toute rencontre avec des médiums, des tireuses de cartes, etc…), car cela peut être utile pour débloquer des situations, mais en 4D c’est obligatoirement obsolète.
En effet, le principe même de la 4D est d’être à 100% en phase avec votre Soi Supérieur, et donc aucune aide extérieure pour vos prises de décision. Ainsi toutes personnes allant chercher réponse à l’extérieur d’elles-mêmes indiquent clairement qu’elles ont encore un pied en 3D, qui, je le rappelle, est doutes, incertitudes et peurs. Alors, vous pensez bien que je faisais un peu tache dans ce stage, car moi, je n’avais absolument rien à demander, alors pourquoi y étais-je ?
Cela a été ma question pendant tout le stage, tout en sachant que la réponse ne viendrait forcément que vers la fin, quand tout serait fini. J’ai donc eu quelques réponses et quelques réflexions que j’ai écrites dans l’article cœur-égo, mais cela n’était que l’apparence, la surface, car d’autres évènements se mirent en place dans la foulée.
Il y eu d’abord une espèce de “crève” absolument anormale dès mon retour de stage, et bizarrement toute l’équipe au sol y a eu droit aussi. Je me suis dit que c’était dû aux énergies (à l’engrais). Puis ensuite le vendredi soir, je ne sais pas pourquoi, je fus mis en contact avec Laura (la personne qui canalise Khubya) et les choses se sont enchainées d’elles-mêmes.
J’avais découvert ses écrits via un lien laissé dans les commentaires, et cela déclencha en moi l’écriture du noir et du blanc ainsi que les articles suivants (ceux qui, en fait, préparaient le test). Bref, je trouvais cela tout à fait bizarre, puisque cela n’est absolument pas mon genre d’entretenir des relations directes avec les channels.
En effet, si vous voulez avoir un meilleur ressenti des textes canalisés, il est préférable de n’avoir aucune relation de près ou de loin avec la personne qui canalise. En clair, aucun lien commercial, affectif ou autre. J’estime même que voir la photo du channel est déjà limite, alors imaginez un peu d’avoir Laura en ligne et en vidéo à l’écran (sous Skype). C’était déjà donc une grosse entorse à mes principes de sécurité !
Bref, après 2h30 de conversation, j’ai ressenti qu’il me fallait lui donner un coup de main sérieux, d’abord en corrigeant ses papiers, et secundo en lui montant un site web robuste. Faisant part de mon intention aux membres de l’équipe au sol, c’est alors que je découvris que, séparément, chacun y avait déjà pensé. En clair, le message était hyper clair : nous avions tous reçu la commande du style “il faut sauver le soldat Ryan”. On a donc relevé les manches et on s’y est tous mis !
Puis, comme par hasard, Khubya n’arrêtait pas de balancer des canalisations. Dit autrement, on te demande de monter dans le train mais le train ne s’arrête pas en gare. Il faut courir sur le quai et sauter dans le wagon… C’est ainsi que dès jeudi matin (vers les 5h), je reçu l’impulsion de “il faut finir le tout pour demain au plus tard”.
J’ai donc cravaché à mort jusqu’au soir, jusqu’à 21h. J’étais raide mort mais tout était enfin opérationnel, et il me fallait écrire un article pour 345D pour le lendemain. J’écrivis donc ce fameux article annonçant le nouveau site de Khubya, lorsque Laura m’envoya la dernière canalisation faite exactement en même temps que j’écrivais mon article. Et c’est là qu’elle me dit que Khubya parlait de moi…
Je n’en pouvais plus et il était 22H30, et je me suis dit que cela aurait été dommage de mettre en ligne un document pdf non complet. Mais mon corps commençait à raidir sérieusement des épaules, mais surtout ma capacité de concentration à l’écran. Bref, je me suis dit “je vais me coucher et on verra ça plus tard dans la nuit”. Je suis donc allé me coucher sans programmer aucun réveil, tout en sachant que mon article paraissait avant 4h du matin…
Ainsi, tel un enfant ayant une foi totale en sa petite voix qui le réveillera au moment juste, je me suis écroulé telle une bûche dans mon lit. Puis vers 3h45, je fus réveillé et j’allumais donc l’ordi dans la foulée. La première chose que je fis a été de repousser l’heure de publication juste un peu avant 7H00, parce qu’après c’est trop tard pour envoyer les emails aux abonnés (c’est fait par un programme informatique basé chez les ricains).
Je commençai donc à corriger la dernière canalisation à ma vitesse, l’intégrai dans le dernier ebook puis publiai l’article sur le blog. Il était déjà 6h30 du matin et je n’ai pas eu un iota de doute sur la synchronisation parfaite afin que mon article puisse paraître dans les temps. De plus, détail important, je n’ai absolument rien modifié de l’article que j’avais écrit la veille, à part le rajout de l’avant-dernier paragraphe car j’avais oublié de mentionner l’aspect neutralité.
Puis, une fois cela fait, je suis retourné au lit continuer ma nuit, tout simplement. Puis, quand je me suis relevé, j’ai découvert un nombre incalculable de commentaires, et surtout de réactions diverses et variées. C’est alors que je me suis dit “Ya un truc !” En effet, cela faisait exactement 7 jours que j’étais rentré en contact avec Laura et, ça, pour moi ce n’est pas du hasard.
Bref, aujourd’hui samedi matin, heure à laquelle j’écris cet article, on me montre le schéma global de l’affaire dès mon réveil. C’est alors que je comprends la nature exacte de ce qui s’est passé. Je reste donc en état de semi-rêverie en essayant de visualiser comment j’ai réagi aux différentes impulsions, mais aussi quelles étaient les points-clés qui ont été testés.
C’est devenu clair comme de l’eau de roche ! Je me suis fait tester sous toutes les coutures, et il n’y a pas un recoin vibratoire qui n’ait pas été testé, y compris mes réactions intérieures face à vos commentaires. J’ai donc souri de toutes mes dents, comme un gamin pris la main dans le sac en chapardant un bonbon dans le placard et qui ne savait pas qu’il était filmé… C’est pas agréable, mais c’est de bonne guerre ! J’ai donc décidé dès samedi midi de ne plus répondre aux commentaires et de simplement laisser faire puisque c’était un examen (le silence est donc d’or !)
Voili voilou, maintenant vous savez tout. Il n’y a donc lieu à nourrir aucune gêne ou ressentiment sur tout ce que vous avez pu ressentir ou écrire dans les commentaires (pour ceux qui l’ont fait). On s’est tous fait tester dans “LA” fameuse réalité qui est celle de l’instant présent. Je tiens donc à vous remercier d’avoir été francs et directs dans vos commentaires, car c’est ainsi que l’on peut partir sur de bonnes bases pour le futur.
Et puis, dernier mot, ma saison officielle se termine d’ici l’été, mais je vous avouerai que ça va sentir comme après tout examen en fin d’année. Ça va faire dans la dilettante, et donc l’atmosphère sera plus au soulagement qu’à la préparation des examens. Maintenant que c’est derrière, il n’y a plus qu’à attendre la prochaine affectation. Il est donc inutile de me demander ce qu’elle sera, je n’en ai aucune idée puisque cela dépend de la note que j’aurai reçue.
Il se peut donc que je reste au même poste de délireur-délivreur en chef, ou carrément que je sois muté je ne sais où et dans quel service. Comme on dit, c’est les joies du Service quand on bosse pour l’UN. La seule certitude que tu puisses avoir, c’est effectivement d’avoir affaire avec l’inconnu, tout simplement.
Laurent DUREAU