Il y a tant de choses à voir, et surtout à dire, que je ne sais pas vraiment par quel bout je vais commencer. En effet, pour comprendre les messages de cet EDL, il y a plusieurs façons de procéder afin que d’un côté, la logique de ce que nous avons abordé sur 345D soit respectée d’une certaine façon, et la logique du cœur qui résonne.
Eh oui, le fameux test que nous avons subi était avant tout de rester centré. Ceux et celles qui n’ont pas réussi à le faire ont alors glissé vers le jugement, entrainant inexorablement les émotions. La forme (l’extérieur) prit donc une ampleur insoupçonnable au point de ne voir que de l’ombre partout. Cela amena forcément de passer totalement à côté du fond.
Puis, pour ceux et celles qui ont su rester centrés, le fond est apparu avec, à la clé, une résonance du cœur ou pas. Si cela ne résonnait pas, alors la personne s’est dit, ce n’est pas pour moi et passa son chemin sans créer aucun remous. Même certaines personnes affichèrent clairement des commentaires disant qu’elles avaient été heureuses de m’avoir connu, et que nos chemins se séparaient là.
Elles démontrèrent ainsi qu’elles avaient compris ce qu’était le respect, et qu’elles prenaient leur destin en main avec sécurité, confiance et surtout foi en elles-mêmes. Ça fait plaisir de voir que des élèves peuvent quitter la classe avec respect, faisant ainsi honneur à l’enseignement dont elles avaient besoin et surtout pleinement intégré. Je leur tire mon chapeau et les remercie de tout mon cœur.
Puis, il y a le 3ème cas qui est celui des personnes qui me suivent tout simplement dans mes délires. Cependant, ce 3ème cas peut se scinder en 2, principalement. Il y a ceux et celles qui me suivent parce qu’elles ont encore besoin d’un guide, et qui se disent que si Laurent va vers par là, c’est forcément pour une bonne raison. Dit en d’autres termes, elles ont bien passé l’épreuve mais restent quand même des fans inconditionnelles du prof.
Je ne dis pas que c’est mauvais, mais je dis qu’il va falloir au fil du temps découvrir comment vous affranchir de moi, c’est-à-dire devenir indépendant. J’ai confiance que cela se fera, puisque l’on me fait confiance. Ainsi des articles-délires seront consacrés spécifiquement pour ces personnes. Et puis enfin, le cas des personnes qui ont vraiment senti les messages de Monsieur Bleu à fond, et cela, indépendamment de mon positionnement.
Cependant, comme il n’y aura pas vraiment d’autres blogs qui en parleront, ils se sentent en confiance avec le délivreur, car ils savent qu’à travers ses délires il dévoilera des clés de compréhension qui leur permettront d’aller encore plus profondément dans les enseignements de Monsieur Bleu. Il est donc évident qu’il y aura aussi des articles qui vous démontreront que cet EDL énonce des vérités qui étaient déjà expliquées sur 345D.
C’est seulement que le vocabulaire employé est, comme d’habitude, à mettre en relation avec celui employé par sa canal, qui globalement ignorait tout de 345D. Je ferai donc des mises au point, soit par l’écriture, soit par des vidéos. Et puis, peut-être qu’il y aura des webconf pour accélérer les choses, car d’une certaine manière le temps nous est compté, même très compté.
De ce fait, j’abandonne le rythme de publication de 3 délires par semaine pour passer à un rythme absolument non planifié. En d’autres termes, les délires tomberont à la vitesse que je serai capable de les écrire. Cela pourra en faire un ou deux par jour, ou rien pendant plusieurs jours. Je n’en sais rien, mais tout ce que je sais, c’est qu’il y a une forme d’urgence que je ressens fortement et qui m’incite à le faire.
J’en profiterai aussi pour vous dire ce qui nous attend devant pour chacun d’entre nous, car ce nouveau prof me fait suivre un rythme intensif afin que je puisse vous expliquer ce qui pend au nez de tous les marcheurs qui ont décidé de me suivre. Dit autrement, j’ai le droit à une petite avance afin de déblayer au max ce qui pourrait vous ralentir, car il y a un objectif derrière tout cela et je vous l’expliquerai plus en détail une fois que j’aurai planté le décor, et surtout expliqué le minima qu’il faut savoir afin de bien intégrer les informations qu’il nous a transmis.
Bref, cela ne me changera pas car je suis un ouvreur de chemin, mais la seule et grande différence maintenant, par rapport à 345D, est le réel travail que nous avons à faire pour définitivement franchir le voile de l’oubli. En effet, avant, nous n’avons fait que de l’approcher suffisamment près pour déjà ressentir quelquefois des vibrations reconnectives et euphorisantes.
C’est à l’image du prisonnier qui est arrivé à quitter sa cellule et qui a le nez dehors. Cela ne veut pas dire qu’il est libre et autonome, parce qu’il reste encore quelques murs plus ou moins grillagés. On voit donc à travers, mais cela ne veut pas dire qu’on les a franchis. En effet, ils sont électrifiés et Monsieur Bleu, d’une certaine manière, nous indique où se trouvent les portes de sortie employées par les gardiens.
Eh oui, à qui sait lire entre les lignes, il est indiqué comment franchir toutes les enceintes qui nous tenaient d’une certaine manière à l’écart de la véritable Création. Mais si ces protections étaient là, c’était justement parce que nous étions impropres vibratoirement. Par cela je veux dire que nous sommes porteurs de vibrations totalement incompatibles avec l’extérieur. Il nous faut donc nous auto-karchériser afin de nous détacher de tous les germes égotiques tenaces qui nous collent à l’ADN.
Certes, de l’extérieur on nous canarde au canon à eau, mais pour que ce soit plus efficace, il est préférable de nous frotter plutôt que de rester passif en se disant que tôt ou tard la crasse égotique partira. C’est bien mais ce n’est pas suffisant, car étant dans un monde dualitaire, nous avons forcément à faire des choix, et donc que le libre arbitre est obligatoirement présent.
Ainsi je vous indiquerai, à ma manière et avec mes mots et images, quels sont les coins où il faut aller frotter (je l’ai déjà fait sur 345D), mais là ça sera plus précis puisque nous pouvons considérer, au sens propre comme au figuré, que Monsieur Bleu nous a refilé des savons. Il ne reste donc plus qu’à jouer de l’huile de coude dans la joie et la bonne humeur, même si à certains endroits nous ressentirons honte, malaise et chatouillis désagréables.
Bref, nous nous savons délicat à prendre en main en tant que préhumain complètement borné et égotique. Mais n’importe quel cuir peut redevenir aussi souple qu’une peau de bébé si l’on y va avec détermination, constance et méthodiquement. Certes, on va se prendre des suées et souvent nous aurons envie de tout envoyer balader, et c’est là qu’intervient la notion de groupe, la notion d’entraide envers chacun.
Si nous ne nous serrons pas les coudes et n’entretenons pas une auto-discipline suffisante, la marche sera ralentie au point de desservir la totalité des participants. Je demande donc à tous ceux qui veulent se joindre à l’expédition de ne pas prendre les commentaires pour une place de tchat où des parties de pingpong et d’action-réaction n’amènent absolument rien au groupe. Si 2 égos veulent démontrer quelque chose, je les encourage à tchater par un autre moyen. Merci d’avance pour votre compréhension.
Je vais donc laisser les commentaires libres au début, et puis j’afficherai la couleur au fur et à mesure des dérives. D’abord ce sera des avertissements, pour finalement se retrouver blacklisté pour une durée variable, voire indéterminée. Je sais qu’en tant que prof, je dois assurer une discipline minimale, mais s’il faut sévir alors je le ferai de toute façon, même si cela me fait des pincements de cœur. Bon, maintenant vous êtes prévenus.
Comme vous pouvez le constater, je ne vais plus me conduire comme avant, car maintenant j’ai repris mon bâton de pèlerin et vous savez tout comme moi que courir après tous les gamins turbulents pendant que l’on marche est plus fatiguant que de rester derrière une baraque à frite sur un parking. Il risque donc d’avoir quelques baffes qui vont tomber à la vitesse de l’éclair. Je dirais même que ça va être malheureusement le cas, car quelques intrépides voudront forcément tester la détermination du prof… et c’est de bonne guerre !
Je vous expliquerai la raison principale de ce changement de cap et d’attitude, car comme le dit cet EDL, nous ne voyons même pas 1% du chantier qu’est l’Ascension. Alors, imaginez si on passe à 2%, ça fera quand même doubler par rapport à ce que nous connaissions. 2% c’est rien, mais doubler c’est beaucoup. Bref, du paquebot de croisière on va passer au hors-bord. Il est donc normal qu’il y ait moins de monde à bord, et c’était en quelque sorte le but du test.
Oui, cela semble injuste si on raisonne à un niveau global, mais c’est parfaitement juste pour qui désire véritablement retourner à La Source. Les règles du jeu changent donc obligatoirement, car comme vous le savez, il n’y a pas de chaises longues pliantes sur un hors-bord… Je dirais même que le siège sera petit, souvent inconfortable pendant certaines houles ou vagues scélérates, et que la seule sécurité que vous aurez sera votre gilet de sauvetage appelé délicatement “restez centré”.
Ce hors-bord s’appelle “Vérité”, et son objectif est de nous faire vomir par dessus bord tout ce qui appartient à la 3D, y compris ce que l’on aura dans les boyaux. De plus, vous pouvez vous en douter, il n’y a pas de toilettes spacieuses à bord et ça se fera à la bonne franquette, tout en sachant que le hors-bord par définition ne fait pas d’escale en pleine mer. Dit autrement, oubliez le confort des pseudo-spirituels et les habitudes qui vont avec.
Ce hors-bord a une mission très spéciale, et c’est pour cela qu’ils ont chopé un fou furieux qui se les glandait à en mourir dans une friterie menant au port. Il avait l’air d’un vieux loup de mer passé à la retraite, mais aujourd’hui on est venu le chercher car le voyage à faire demande une maitrise réelle face à l’incertain, à l’inconnu, tout en sachant qu’il aura à faire du babysitting quand même…
Bref, pour l’instant nous sommes encore amarrés au port et les consignes de bases vont être distribuées dans les prochains articles. Je rappelle que personne n’est obligé de monter à bord s’il sent qu’il est un peu limite. Chacun a le choix et n’embarqueront que les volontaires qui en ont marre que les choses n’avancent pas. Le hors-bord leur donnera au moins les frissons qu’ils attendent, du moins je l’espère.
Pour terminer là-dessus, mon phrasé sera plus prononcé, et donc probablement plus proche du populaire que du raffiné standard sans goût. Alors rappelez-vous que le vocabulaire n’est qu’une étiquette pour vous faire comprendre l’essence des choses, alors ne faites pas comme ceux qui ont échoué au test. Ne tombez pas dans le jugement extérieur, car lorsque nous aurons franchi le cap espéré, la télépathie sera votre langage naturel puisqu’il l’a toujours été dans toute la Création depuis son origine.
Je vous dis donc au prochain article, tout en sachant que vous aurez pris le parfum de ce nouveau voyage relevant plus du commando ascensionnel que de la croisière pépère prenant des éternités. A chacun sa vitesse, mais moi, j’en ai marre de faire du quasi sur place en répétant inlassablement les mêmes délires. Certes, l’emballage variait, mais des frites, ça reste des frites !
Laurent DUREAU